Attention, le texte qui suit decrit les états d'ame d'une jeune fille violée, personne a l'ame sensible s'abstenir s'il vous plait, je tiens a signaler que ce texte n'est pas autobiographique ,
Orphée était seule, recroquevillée dans la penombre , le visage iondé de larmes. Un seul arrêt sur ses yeux aurait suffi a comprendre sa douleur. Le sourire ravagé , les yeux humides, les mains tremblantes et le coeur au bord des levres . Elle se sentait si mal ! A quoi bon servait il de vivre pour endurer cela? Le soleil declinait , son seul point de repere partait eclairer une autre jeune file et sa vie s'enfuyait à ses cotés . Bientôt les étoiles apparraitraient et les ennuis suivraient. Son père viendrait avec ce même sourire hypocrite et innocent et lui volerait son corps. Dieu qu'elle aurait voulu lui arracher les lèvres, tout pour ne plus le voir avec ces sourires menteurs lorsque sa mere était là et carnassiés quand ils étaient seuls. Ce soir encore il la touchera, ce soir encore elle pleurera et le supplira d'arrêter . Ce soir encore ce sera vain. Ce soir encore elle preferera mourir plutôt que de voir le jour se lever à nouveau. C'était une jeune fille rayonnante avant que tout comence, avant que celui qui lui avait donné la vie ne décide de la lui reprendre, de la manière la plus douloureuse et la plus longue qu'il soit. Son petti ami ne comprenait pas pourquoi elle le repoussait. Elle qui, quelques mois plus tôt aimait tant ses caresses, son réconfort. Elle pleurait encore parce que c'ést tout ce qui lui restait. Sa voix lui ferai défault ce soir et les regards implorants ne serviraient a rien? Les minutes s'écoulerent mais sa rage demeura. Comme tous les soinrs il pénétra dans sa chambre en silence en la détaillant . Elle voulait hurler pour prevenir quelqu'un, n'importe qui pourvu qu'on l'arrête mais les mots et les sons laissaient place aux gemissement de terreur "Si Dieu existe qu'il me retire la vie avant que ça ne recommence" pensa t elle en se terrant un peu plus sur elle même Mais Dieu l'avait abandonné depuis longtemps et personne n'était là pour le remplacer . Sous les caresses et les baisers volés une nouvelle hardeur se reveilla pour lui faire mal encore une fois. Puis il repartit comme toujours pour retrouver sa mère, peut être serait t elle consentante, elle. Mais cette fois Orphée ne le saurait pas, elle avisa un ciseau sur son bureau et s'en servit .Elle sentait sa peine diminuer avec les secondes, sa peur s'enfuir avec les gouttes de sang. Non! il n'aurait pas le privilège de la voir pleurer encore une fois. Peut être Dieu existait il finalement car personne ne vint la déranger. Bientôt elle serait libre, bientôt elle serait heureuse. Elle posa une dernière fois son regard sur la chambre où ses sentiments se mélaient, joie de l'enfance, peur de l'adolescence .Puis ele sombra dans le neant, et pour la première fois le noir ne lui fit plus peur, elle l'attendait depuis tellement longtemps! |