|
|
|
|
|
| |
histoire surprenante
19/05/2006 16:07
| |
|
|
 |
durant la pause du midi, Maxime quitta l'école secondaire Francis-Cadieux pour se rendre au métro prendre un petit dîner. Il faisait chaud et humide, une température idéale pour ce 1er Juin 2006. En arrivant près du métro, Maxime vît un ordinateur sur le bas-côté de la route. Étrangement, l'ordinateur semblait en parfait état! Puisque Maxime a toujours voulu avoir un ordinateur à lui seul, il le prit avec lui. c'était un peu lourd mais puisqu'il n'habitait pas loin...il ne lui resterais plus qu'à acheter l'écran! Après avoir fini sa petite course, il retourna à l'école.
Tout de suite après l'école, Maxime avait acheter l'écran d'ordi. il commença à écrire sur tout et rien. Il adorait inventer des histoires, ça lui permettait de laisser aller son imagination et de se transposer dans les personnages pour faire ce qu'il n'oserait jamais. Il écrivit d'abord une petite histoire d'héro qui sauve sa gente damoiselle.. le lendemain, en se rendant à son premier cours, il entendit un cri perçant venant de chez sa voisine. il acourut et vît la porte entre-ouverte. il entra furtivement, et vît la jeune fille des voisin se faire agresser par un vieillard qui habitait au bout de la rue. Maxime prit le premier objet lourd qui lui tomba sur la main et le fracassa sur le crâne du vieil homme. La jeune fille, soulagée, alla se blôtir sur notre jeune héro.. Maxime commença a bien aimer son ordinateur!!!
quelques jours plus tard, et quelques aventures plus tard, Maxime rentra chez lui et découvrit sa soeur entrain de fouiller ses dossiers dans SON ordinateur. Il avait beau lui dire de s'en aller, mais quand on a une soeur qui joue dans l'équipe féminine de Team Canada et qu'on est même pas capable de lever 5 livres, c'est assez difficile de faire son dur de dur! Après avoir rit de bon coeur des fantasmes de son frêres et de ses histoires à dormir debout, la grande soeur partie à sa pratique de hockey, laissant son jeune frêre ébété et surtout embêté! il se mit donc à écrire, et à écrire, et à écrire!...ce fût la plus longue histoire qu'il écrivit, et surtout, ce fût la première histoire de meurtre qu'il écrivit. il allait apprendre à faire attention à ce que l'on souhaite car:
«Aussitôt arrivée dans sa demeure, la jeune prodige des sports se dirigea vers la salle de bain pour prendre une douche. à peine avait-elle franchit la porte de la salle de bain, qu'un homme bondît sur elle. il déchira tous ses vêtements, la viola dans tous les sens, elle fût frappée, étranglé sans être tué, au-dessus de ses yeux, elle vît mirroiter un marteau. l'homme ne se contenta pas de lui fracasser le crâne, il lui frappa les jambes, le ventre, les mains, les bras. elle avait beau hurler, personne n'était dans la maison pour lui sauver la vie. son sang giclait sur les murs et elle assistait sans rien pouvoir faire, sans pouvoir se débattre! ses os se fracassaient, sa peau se fendait et elle s'époumonnait à crier pour peut-être réussir à réveiller un voisin. l'homme semblait avoir un malin plaisir à voir souffrir les jeunes femmes. il continua à la torturer ainsi pour enfin lui trancher la gorge avec son rasoir. Elle n'aura pas eu le temps de prendre une douche, à la place, elle dormit à tout jamais dans un bain de sang.» |
|
| |
|
|
|
|
|
|
| |
liser c'est vrai impardonnable
19/05/2006 16:00
| |
pauvre fille c'est une histoire emouvante |
|
|
Attention, le texte qui suit decrit les états d'ame d'une jeune fille violée, personne a l'ame sensible s'abstenir s'il vous plait, je tiens a signaler que ce texte n'est pas autobiographique ,
Orphée était seule, recroquevillée dans la penombre , le visage iondé de larmes. Un seul arrêt sur ses yeux aurait suffi a comprendre sa douleur. Le sourire ravagé , les yeux humides, les mains tremblantes et le coeur au bord des levres . Elle se sentait si mal !
A quoi bon servait il de vivre pour endurer cela? Le soleil declinait , son seul point de repere partait eclairer une autre jeune file et sa vie s'enfuyait à ses cotés . Bientôt les étoiles apparraitraient et les ennuis suivraient. Son père viendrait avec ce même sourire hypocrite et innocent et lui volerait son corps. Dieu qu'elle aurait voulu lui arracher les lèvres, tout pour ne plus le voir avec ces sourires menteurs lorsque sa mere était là et carnassiés quand ils étaient seuls. Ce soir encore il la touchera, ce soir encore elle pleurera et le supplira d'arrêter . Ce soir encore ce sera vain. Ce soir encore elle preferera mourir plutôt que de voir le jour se lever à nouveau. C'était une jeune fille rayonnante avant que tout comence, avant que celui qui lui avait donné la vie ne décide de la lui reprendre, de la manière la plus douloureuse et la plus longue qu'il soit. Son petti ami ne comprenait pas pourquoi elle le repoussait. Elle qui, quelques mois plus tôt aimait tant ses caresses, son réconfort. Elle pleurait encore parce que c'ést tout ce qui lui restait. Sa voix lui ferai défault ce soir et les regards implorants ne serviraient a rien? Les minutes s'écoulerent mais sa rage demeura. Comme tous les soinrs il pénétra dans sa chambre en silence en la détaillant . Elle voulait hurler pour prevenir quelqu'un, n'importe qui pourvu qu'on l'arrête mais les mots et les sons laissaient place aux gemissement de terreur "Si Dieu existe qu'il me retire la vie avant que ça ne recommence" pensa t elle en se terrant un peu plus sur elle même Mais Dieu l'avait abandonné depuis longtemps et personne n'était là pour le remplacer . Sous les caresses et les baisers volés une nouvelle hardeur se reveilla pour lui faire mal encore une fois. Puis il repartit comme toujours pour retrouver sa mère, peut être serait t elle consentante, elle. Mais cette fois Orphée ne le saurait pas, elle avisa un ciseau sur son bureau et s'en servit .Elle sentait sa peine diminuer avec les secondes, sa peur s'enfuir avec les gouttes de sang. Non! il n'aurait pas le privilège de la voir pleurer encore une fois. Peut être Dieu existait il finalement car personne ne vint la déranger. Bientôt elle serait libre, bientôt elle serait heureuse. Elle posa une dernière fois son regard sur la chambre où ses sentiments se mélaient, joie de l'enfance, peur de l'adolescence .Puis ele sombra dans le neant, et pour la première fois le noir ne lui fit plus peur, elle l'attendait depuis tellement longtemps! |
|
Commentaire de pauline (19/05/2006 16:03) :
terrible...........et l'après viole autant
moipauline93.vip-blog.com
|
| |
|
|
|
|
|
|
| |
cauchemar ou realité??
19/05/2006 15:57
| |
|
|
|
Il est 20h35. Je me dirige chez moi, je récent une douleur dans mon coeur, comme une appréhension, un vraie mal-être...
Un homme me suit depuis quelques minutes, j'ai un peu peur, j'accélère. Mais il est toujours derrière moi, il marche de plus en plus vite, je sens son souffle, son odeur, sa présence...
Je me retourne, j'aperçois son visage, un visage pâle.
Puis je perds toute mon énergie, je m'arrête, je n'arrive plus a faire un pas. Il s'approche de moi, me touche mon visage, puis me met un collier autour du cou. Bloquée, je n'arrive plus a bouger, je tremble, j'ai peur, j'essaye de crier mais aucun son ne sort de ma bouche.
Je m'écroule par terre, ferme les yeux, et me réveille en sursaut.
Ce n'était qu'un cauchemar, no ? Qu'un cauchemar ?
Alors pourquoi j'ai ce collier autour du cou?
|
franchement c'est bizzard
| |
|
|
|
|
|
|
| |
poeme
19/05/2006 15:54
| |
|
|
Ce n'est qu'une autre deception
Je devrait me suicider
Je ne peut plus endurer
Comment ais-je pu être si con !
Tout s’est écroulé au fond de moi
Quand sourire aux lèvres elle me dit non
Un seul mot, un seul pas
Une simple mais injuste négation
Plus rien ne pourra m’ébranler
Meme mon visage en est retsé figé
Dans une expression d'atroce douleur
D'un etre qui doucement se meurt
Cette situation ne m'est plus supportable
Passé present et futur sont joués
Je ne peut plus supporter cette fable
Cette divine existance truquée
Une larme de sang coula…
Roula sur ma joue puis tomba a terre
Mais de mes yeux elles ne venaient pas
C’est de mon front qu’elles émanèrent
Ma tête percée d’une seule balle
Et l’arme gisant a mes cotés
Mon sang inondant toute la dalle
Tombe froide que jonchait mon corps inanimé
NO FUTUR, telle était ma devise
Une auto destruction programmée
NO FUTUR, telle sera ma devise
Une mort durement arrachée...
{{ I miss you so I kill me... }}
|
|
voila ce kun jeune di dan son poeme,imaginer vous ce kil a du avoir dan sa vi.
| |
|
|
|
|
|
|
| |
lettre de sang
19/05/2006 15:46
kan pensez vous sa fou la chair de poule,mai j'aime bien
| |
|
|
|
|
